Oeuvre de Jean-François Comment (1995)
 source: Espace Saint-Gervais — Photos © Office du patrimoine et des sites 
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À partir de CHF 15.-
Billets disponibles en ligne ou sur place le jour du concert
Cette féérie radiophonique sera donnée pour la première fois par Contrechamps dans l’habillage sonore rafraîchissant de Jonathan Frigeri. Un portail de glace à travers lequel, le coeur battant, quinze interprètes et une comédienne en quête d’aventure et de solitude nous entraînent.
Concert enregistré et diffusé par RTS-Espace2
À partir de CHF 15.-
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Ce concert manifeste réunit l’Ensemble vocal La Fontana Cantabile, des jeunes talents Ponticello et des étudiant-e-s de la HEM préparé-e-s par Ophélie Gaillard.
Un hymne à l’amour de la nature magnifié par Saint François D’Assise et Sofia Gubaidulina, à l’amour divin avec des cantiques de Hildegarde von Bingen, et à l’amour humain autour de la cantate Roméo et Juliette de Frank Martin.
Durée totale approximative de 1h15 (sans entracte)
Ce programme pour cordes met en lumière trois œuvres où le dialogue entre solistes et orchestre se déploie avec raffinement. Composé en 1973 pour Yehudi Menuhin, Polyptyque de Frank Martin s’inspire de la structure des retables médiévaux : six mouvements méditatifs pour violon et deux petits orchestres à cordes, qui alternent entre recueillement lyrique et tension dramatique.
La Sinfonia concertante en mi bémol majeur KV 364 de Mozart, écrite à l’époque viennoise du compositeur, incarne l’équilibre parfait entre la virtuosité concertante et la richesse du dialogue orchestral.
En création mondiale, le double concerto pour alto, violoncelle et orchestre à cordes de Thomas Zehetmair, qui répond à celui de Mozart, offre un regard contemporain sur l’art du concerto, dans une écriture aussi inventive qu’expressive.
Tarif: de CHF 10.- à CHF 35.-
Tarif: de CHF 10.- à CHF 35.- 
Gratuit pour les moins de dix ans
À partir de CHF 15.-
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Entre l’Espagne rêvée dans ses Trois Danses et la rigueur savante de sa Petite Symphonie concertante, Frank Martin montre son goût pour l’invention sonore et les couleurs instrumentales rares. En miroir, Musique pour cordes, percussion et célesta de Bartók, chef-d’œuvre inclassable, fait résonner les échos du folklore dans une écriture polyphonique particulièrement riche. Un programme porté par l’esprit novateur du célèbre mécène et chef d’orchestre Paul Sacher.
Durée : 1h30 sans entracte 
 Ouverture des portes à 16H30
À partir de CHF 15.-
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Fondé en 1942 par Victor Desarzens, l’Orchestre de Chambre de Lausanne (OCL) est devenu aujourd’hui l’un des orchestres de chambre les plus demandés d’Europe. Après six ans passés sous la direction artistique du chef américain Joshua Weilerstein, l’OCL est aujourd’hui dirigé par le célèbre violoniste français Renaud Capuçon. Composé d’une quarantaine de musiciennes et de musiciens, l’Orchestre embrasse un vaste répertoire qui va des premiers baroques à la création contemporaine.
Très vite convié à l’étranger, l’OCL se produit dans les salles de concerts et les festivals les plus réputés. Il participe ainsi au Festival d’Aix-en-Provence dès sa deuxième édition ainsi qu’à plusieurs éditions du Festival Enescu de Bucarest. Ses tournées en Allemagne et aux Etats-Unis sont des succès retentissants, tout comme ses concerts au Théâtre des Champs-Élysées de Paris, aux BBC Proms de Londres, au Wiener Konzerthaus ou à la Berliner Philharmoniker. Lors de la saison 2023-2024, l’OCL se produit notamment à Madrid, Barcelone et, pour la première fois, à la Philharmonie de Paris.
Tout au long de son existence, l’OCL a joué avec des solistes de premier plan. Citons par exemple Clara Haskil, Alfred Cortot, Walter Gieseking, Edwin Fischer, Murray Perahia, Radu Lupu, Martha Argerich, Nikolai Lugansky, Daniel Barenboim, ou encore Frank Peter Zimmermann. L’OCL a également toujours su attirer les baguettes les plus intéressantes de leur temps, parmi lesquelles Paul Hindemith, Günter Wand, Christoph Eschenbach, Ton Koopman, Jeffrey Tate, Bertrand de Billy, Simone Young ou Daniel Harding.
L’OCL est à la tête d’une importante discographie : de l’intégrale des opéras de Haydn dans les années 1970-1980 sous la direction d’Antal Dorati aux concertos de Beethoven et Mozart avec Christian Zacharias, en passant par des enregistrements dédiés à Schoenberg et Webern (avec Heinz Holliger) et à Spohr et Weber (avec Paul Meyer).
Diplômée des Hautes Écoles de Lausanne et Zurich avec les plus hautes distinctions, Hélène Walter se forme notamment au contact de Teresa Berganza, Helmut Deutsch, John Fiore, Luisa Castellani, Christian Immler et chante sous la baguette de Ton Koopman et Michel Corboz. Après ses études, elle se perfectionne auprès d’éminents interprètes tels qu’Alessandra Rossi, Heidi Brunner, Raul Gimenez ou encore François Le Roux.
Hélène Walter poursuit une brillante carrière internationale, se produisant sur les scènes du Müpa de Budapest, du Palau de la Música Catalana de Barcelone, du Théâtre des Champs-Élysées de Paris et du Musikverein de Vienne sous la direction de Martin Böckstiegel, François-Xavier Roth, Pierre Bleuse, Lucie Leguay et Corrado Rovaris. Chez Mozart, elle incarne les rôles de Pamina (Die Zauberflöte), Sandrina (la finta giardiniera) ou la Comtesse (Le nozze di Figaro). Citons encore Elle (La Voix Humaine de Poulenc), Cleopatra (Giulio Cesare de Haendel) et Manon de Massenet.
Artiste éclectique, active aussi bien sur les scènes d’opéra que dans les salles de concert, on retrouve Hélène Walter chez Bach dans la Messe en si, les Passions, les oratorios de Noël et Pâques aux côtés des musiciens du Louvre, des Solisti Veneti, de Spirito, de l’ensemble Pygmalion et dans la Symphonie n°4 de Mahler avec le Kammerorchester de Bâle. Elle chante le Pierrot lunaire de Schönberg aux côtés de l’Ensemble Orchestral Contemporain et Bruno Mantovani en 2022 et est l’invitée de l’ensemble Intercontemporain en 2018.
Hélène Walter apparaît en premier plan dans deux productions discographique, enregistrées au sein du prestigieux château de Versailles avec la Chapelle Harmonique et plus récemment avec la Chapelle Rhénane. Le critique Ermes Mercuri fait grand cas de « la classe vocale et la fascinante maturité scénique de la très talentueuse Hélène Walter ».
Jonathan Frigeri est un artiste sonore/radio, performer et producteur de musique éléctronique, ou, selon une définition moins conventionnelle, un artiste spéléologue et ingénieur psychique travaillant à l’intersection de l’art et de la technologie. Il cherche à utiliser la technologie avec une approche lo-fi afin de révéler une pensée critique à travers un parfum poétique. Les médias sont réduits à leur forme essentielle et interrogés dans leurs fonctions communicatives, sociales et philosophiques. Il pousse les frontières et les limites d’une réalité possible afin de voir et d’entendre derrière les rideaux.
Se faisant un nom à travers de multiples engagements à l’opéra et au concert, montrant un tempérament vif et un véritable amour pour faire de la musique sur scène, Zoi Tsokanou est la première femme de l’histoire à diriger un grand orchestre grec. De 2017 à 2023, elle a été chef d’orchestre et directrice artistique de l’Orchestre symphonique d’État de Thessalonique, dirigeant 120 musiciens dans un nouveau domaine de répertoire, de profil international, d’accessibilité et d’engagement éducatif et communautaire.
Les temps forts de la saison 2024/2025 comprennent son retour au Royal Opera House Covent Garden, ses débuts avec le Hessisches Staatsorchester Wiesbaden, l’Orchestre symphonique tyrolien, la Brandenburgische Staatsphilharmonie, des concerts avec l’Orchestre symphonique d’État d’Athènes, le Sinfonietta de Lausanne, l’Orquesta Sinfonica da Xalapa au Mexique et une série d’apparitions et d’enregistrements avec l’Orchestre symphonique de Chypre.
Au cours des dernières saisons, elle a fait ses débuts au Royal Opera House Covent Garden à Londres dans la Symphonie n° 3 de Gorecki chorégraphiée par Crystal Pite, à l’Opéra national de Norvège, au Grand Théâtre de Genève, ainsi qu’avec l’Orchestre de la Suisse Romande OSR, l’Orchestre symphonique national de la radio polonaise NOSPR, les Niederrheinische Sinfonikern a.o. Son nouvel album avec le TSSO « Topos » a été récemment publié par Naxos et a reçu les éloges de la critique.
Elle travaille avec des artistes de renom tels que Gil Shaham, Thomas Hampson, Cyprien Katsaris, Juliana Avdeeva, Anastasia Kobekina, Simon Trpceski, Daniel Lozakovich, Alena Baeva, Daniel Müller Schott, Anneleen Lenaerts, Valeriy Sokolov, Lucienne Renaudin Vary, Roman Simovic, Maximilian Hornung, Ramon Vargas, etc. Elle a participé à des festivals renommés tels que le Festival de Lucerne, le Festival de Hollande, le Festival d’Athènes, le Festival Schumann de Düsseldorf, le Festival de Domstufen, le Festival de Klangspuren, le Festival Amplitudes.
De 2014 à 2017, elle a été chef d’orchestre permanent au Theater Erfurt, dirigeant un vaste répertoire d’opéras et de concerts. Pendant deux ans, elle a occupé le poste de chef d’orchestre associé au plus ancien orchestre tchèque, le Westbohemian Symphony, et de 2011 à 2014, elle a été directrice musicale de l’Arosa Music Theater au festival d’Arosa, en Suisse.
En 2024, elle a dirigé la nouvelle production de Carmen du Schauspielhaus Zürich à Zurich et à Amsterdam, où elle a été acclamée par la critique. Au printemps 2018, elle a dirigé l’opéra rarement joué de Spontini, Agnes von Hohenstaufen, au Theater Erfurt, créant une sensation internationale. À l’Opéra national grec, elle a dirigé des productions d’opéra renommées telles que La Flûte enchantée de Barrie Kosky, Lucia die Lammermoor de Katie Mitchell et Simon Boccanegra d’Elijah Moshinsky. Son répertoire d’opéra comprend, entre autres, Rigoletto, Il Trovatore, Macbeth, Otello, Tosca, Cavalleria Rusticana, Glucks Orfeo ed Euridice, Die Verkaufte Braut, Gounods Faust, Zandonai’s Giulietta e Romeo, Il Barbiere di Siviglia, die Lustige Witwe, Die Fledermaus, West Side Story, en collaboration avec les théâtres d’opéra d’Erfurt, Brême, Ratisbonne, Osnabrück, Hagen, Athènes et Thessalonique.
L’un de ses moments les plus remarquables est son assistanat auprès de Bernard Haitink, son important mentor, au sein de l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich. Elle a été invitée à plusieurs reprises par le Festival de Lucerne à participer à la Master Class de direction d’orchestre avec Bernard Haitink ainsi qu’avec l’Orchestre de la Tonhalle et David Zinman. Elle a remporté plusieurs prix lors de concours internationaux de direction d’orchestre. Zoi Tsokanou est née à Thessalonique. Elle a obtenu un diplôme de piano et de musicologie dans sa ville natale et a étudié à Zurich le piano avec Konstantin Scherbakov et la direction d’orchestre avec Johannes Schlaefli. Elle vit avec sa famille à Zurich.
Anne-Cécile Moser découvre la danse à treize ans, puis le théâtre.
Elle désire très vite en faire son métier. Diplômée en 1987, elle travaille avec de nombreux metteur·euses en scène dont Matthias Langhoff et Omar Porras.
En 2002, elle fonde acmosercie. Univers onirique, sensible, poétique et audacieux, elle y crée notamment Le songe d’une nuit d’été de William Shakespeare, Alma ou petits bouts de rêves…de Marielle Pinsard, M.W (Magic Woman) avec diverses autrices romandes, Les chevaliers Jedi ont-il un bouton sur le nez ? de Camille Rebetez, Les chroniques Adriatiques et Sans titre (titre provisoire) avec des textes de Domenico Carli, Be calme, Lison avec des textes de Louise Bourgeois et Jean Frémont, La voix humaine de Francis Poulenc et Jean Cocteau avec Virginie Falquet et Hélène Walter. De 2007 à 2009, elle bénéficie d’un contrat de confiance du Canton de Vaud. En 2011, elle initie le vaste projet 5600k Les artisans de l’ombre avec Mario Del Curto. Depuis 2017, Anne-Cécile Moser est aussi art-thérapeute. 
(http://acmosercie.com/theatre/)
Contrechamps est un ensemble de solistes spécialisé dans la création, le développement et la diffusion de la musique instrumentale des XXe et XXIe siècles. L’Ensemble s’engage à décloisonner et mettre en valeur la diversité des esthétiques et des acteur·ices de la scène contemporaine et expérimentale. Depuis plus de quarante ans, l’Ensemble Contrechamps collabore étroitement avec un grand nombre de compositeur·ices, de chef·fes et d’artistes. L’Ensemble met également en valeur ses musicien·nes titulaires dans leur talents spécifiques et multiples. Il développe des nouveaux formats de présentation : concerts installatifs et radiophoniques, laboratoires de recherche ou tournée virtuelle. Il propose une identité hybride entre orchestre et compagnie, adaptant son fonctionnement aux impératifs artistiques et aux propositions des créateur·ices. Reconnu pour son travail et invité des scènes internationales, Contrechamps fréquente de nombreux festivals et institutions et collabore avec de nombreux partenaires en Suisse et à l’étranger.
Fondée au Grand-Saconnex, dans le sillage de l’Ensemble La Fontana Cantabile, l’Association Académie la Fontana Cantabile est une structure visant à pérenniser son engagement pour promouvoir les jeunes talents en leur donnant l’opportunité de se produire en choeur, en orchestre et, dans la plupart du temps en tant que soliste dans les plus grandes pages du répertoire classique. À ce titre elle est l’entité chargée d’organiser les projets de l’Ensemble La Fontana Cantabile dans le Canton de Genève.
Ce concept a été initié en 2016 sur les bancs d’études de la Haute école de musique de Genève HEM, porté par la vision de ses initiateurs, Jean Gautier-Pignonblanc (chef de choeur) et Raphaël Hardmeyer (chanteur lyrique) convaincus qu’une part importante de leur cursus consistait en des expériences pratiques en organisant des concerts par et pour les jeunes.
Aujourd’hui les fondateurs ont fait bien du chemin, aidés par Gaby Hardmeyer, organiste ayant accompli ses études auprès de Pierre Segond au ex-Conservatoire supérieur de musique de Genève. En effet, Jean qui est devenu lui-même professeur au Conservatoire de Musique de Genève et Raphaël poursuit une carrière de chant qui le mène aux quatre coins de l’Europe, tout en étant établi à Genève où on le voit régulièrement sur scène dans des endroits tels que le Victoria Hall ou le Grand-Théâtre.
Conscients que leurs expériences passées leur ont permis d’accumuler un solide bagage musical et ainsi faire face aux défis que pose l’univers compétitif du monde musical classique, les fondateurs ont à coeur aujourd’hui de transmettre leur savoir-faire et assumer un rôle de passeurs en montant deux projets par an et d’offrir, en fonction des programmes, un coaching avec des spécialistes de renom. La dernière fois, nous avons pu bénéficier de l’expertise du grand ténor allemand Gerd Türk.
Avec l’Académie La Fontana Cantabile, nous sélectionnons essentiellement des étudiant.es de la HEM lesquels disposent d’un outil de premier plan en pouvant se produire aux côtés de l’Ensemble la Fontana Cantabile lequel s’est fait un nom par ses nombreux concerts au Temple Saint-Gervais à Genève ou en inaugurant l’iconique bâtiment rénové du CMG à Place Neuve où ils ont présenté en 1ère mondiale, le Te Deum de Jean-Claude Schlaepfer.
En juin 2018, Jean Gautier-Pignonblanc obtient son Master de Direction de Chœur dans la classe du chef brésilien Celso Antunes à la Haute Ecole de Musique de Genève ainsi que le prix spécial Janine-Françoise Muller-Dumas décerné par la ville de Genève. Il devient, après un an en tant qu’assistant, chef de chœur du grand chœur d’oratorio composé d‘étudiants de la Haute Ecole de Musique de Genève et obtient en 2019 un poste de professeur dans le département de Culture Musicale du Conservatoire de Musique de Genève. Passionné par la vie de cet établissement, Jean Gautier-Pignonblanc est aujourd’hui attaché de direction au sein de cette institution tout en conservant une charge d’enseignement.
Il cofonde l’Ensemble professionnel La Fontana Cantabile avec lequel il a donné les plus belles œuvres de JS Bach comme la Passion selon Saint-Jean (2016), l’Oratorio de Pâques (2017), le Magnificat (2019) et la Messe en Si (2020). En 2023, l’ensemble est invité à interpréter l’exceptionnelle Passion selon Saint-Matthieu dans de nombreux festivals. Après l’intégrale des Cantates de Noël (2023 et 2024), il donne en 2025 la Messe en Ut min de Mozart et le Cantique du Soleil, une œuvre contemporaine de Gubaïdulina avec Ophélie Gaillard au violoncelle. Jean Gautier-Pignonblanc dirige depuis 2017 le chœur amateur de Vandœuvres-Choulex-Cologny composé d’une soixantaine de choristes.
Intéressé par le monde de l’opéra, Jean a été invité en 2015 puis 2017 au sein de l’Opéra National de Vienne, en Autriche, par son chef de chœur Thomas Lang. En 2016, il travaille à l’Opéra-Théâtre de Saint-Etienne (France) en tant que chef de chant et dirige la Flûte Enchantée ou encore Les Noces de Figaro en 2017 de Mozart dans le cadre de l’Académie Lyrique de Vendôme (France). À Bourg-en-Bresse, il est invité à diriger le magnifique Stabat Mater d’A. Dvorak ainsi que le Requiem Allemand de J. Brahms dans l’incroyable abbatiale de Brou en 2022 et 2023.
Après avoir étudié le piano, l’art dramatique et le chant au Conservatoire en Normandie, Coralie Quellier continue sa formation auprès de Gilles Cachemaille à la HEM de Genève où elle valide un Bachelor de chant en 2014. Elle intègre ensuite la HEMU de Lausanne dans la classe de Brigitte Balleys et y obtient en 2016 un Master en interprétation. Elle se produit régulièrement dans les chœurs professionnels du Grand Théâtre de Genève et à l’Ensemble Vocal de Lausanne. Coralie Quellier apprécie particulièrement la scène et travaille un répertoire soliste allant de l’opéra-comique, rôles de Fiametta (Audran), Metella (Offenbach), Havas dans « Une opérette à Ravensbrück » de Germaine Tillon ; au café-concert où elle chante les succès de Thérésa avec la compagnie l’Arsenal d’Apparitions et au théâtre du Galpon dans l’opéra-cabaret « Mack is coming back » mis en scène par G.Alvarez . On a également pu l’entendre en Palestine au Bethlehem Convention Palace dans le rôle titre de Carmen (Bizet), ainsi que dans l’opéra de Quat’sous de Kurt Weill dans le rôle de Jenny, mis en scène par S.Grögler au Théâtre du Galpon.
Un esprit d’une curiosité insatiable, le goût du risque, un appétit immodéré pour tout le répertoire du violoncelle concertant sans frontières ni querelles de chapelle, un engagement citoyen et un amour inconditionnel de la nature : voici sans doute ce qui distingue très tôt cette brillante interprète franco-helvétique.
Élue « Révélation soliste instrumental » aux Victoires de la Musique Classique 2003, elle se produit depuis en récital aussi bien en Asie qu’en Europe et est l’invitée des orchestres les plus prestigieux comme l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, l’Orchestre national de Metz, le Royal Philharmonic Orchestra, le Czech National Symphony Orchestra ou le New Japan Philharmonic.
Ophélie Gaillard enregistre pour Aparté plusieurs intégrales récompensées par la presse internationale : Bach, Britten, Schumann, Fauré, Chopin, Brahms, CPE Bach, Strauss, ainsi que des albums thématiques qui ont conquis un très large public, tels que Dreams, Alvorada et Exils.
Passionnée de rencontres, elle partage régulièrement la scène avec Lambert Wilson, le danseur hip-hop Ibrahim Sissoko, les chorégraphes Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet, les danseur·euse·s Étoile Hugo Marchand et Ludmila Pagliero, ou encore le chanteur star de la bossa nova Toquinho (album live Canto de sereia, enregistré pour Aparté au festival MiTo en 2017).
En 2005, elle fonde le Pulcinella Orchestra, qu’elle dirige du violoncelle et avec lequel elle explore les répertoires des XVIIᵉ et XVIIIᵉ siècles sur instruments historiques.
Après un double album consacré à Boccherini en 2019, enregistré avec la complicité de Sandrine Piau, Ophélie Gaillard et Pulcinella remportent un large succès public grâce à un double album Vivaldi, I colori dell’ombra, gravé au plus fort de la crise sanitaire avec les mezzo-sopranos Lucile Richardot et Delphine Galou.
Début 2021, toujours chez Aparté, Ophélie Gaillard propose un voyage à travers 100 ans d’airs d’opéra avec son enregistrement Cellopera, accompagné par le Vienna Morphing Orchestra sous la direction de Frédéric Chaslin, grâce à des transcriptions pour violoncelle et orchestre d’œuvres de Mozart, Verdi, Tchaïkovski, Offenbach et Puccini. En mars 2022, avec A Night in London, elle nous amène à la rencontre des compositeurs qui tentèrent l’aventure à Londres dans les années 1730, tels Porpora, Geminiani ou Bononcini.
Pour 2023, cap sur Naples avec Sandrine Piau, Marina Viotti et Luan Goes pour un double-album haut en couleurs, reprenant des inédits de Porpora, des concertos de Leo ou Durante, des gigues de Matteis ou encore des Tarentelles traditionnelles.
Percussionniste, Gabriel Michaud est un musicien complet aux influences éclectiques. Il a eu l’occasion de se produire dans divers festivals (La folle journée, festival Archipel, IPEA Shanghai, Salon-de-Provence, entre autres), en récital ou en musique de chambre, ainsi qu’avec certains orchestres comme l’Orchestre de la Suisse Romande ou l’Orchestre National des Pays de la Loire.
En 2021, Gabriel Michaud remporte plusieurs prix dans des concours solistes (Allemagne, Suisse, Espagne), puis de musique de chambre en 2022 (Luxembourg avec le Trio Fragments). Cette même année, Gabriel remporte le 1e prix, le prix du public ainsi que le prix de la presse du renommé concours international de TROMP Percussion Eindhoven.
Gabriel Michaud est également compositeur. Il écrit pour des formations de musique de chambre ainsi que de musique électronique au sein du collectif de rap Codex Dissident.
Né en France en 2003, Gabriel débute la percussion à l’âge de 7 ans dans une école de musique associative avant d’intégrer le CNR de Nantes dès l’âge de 11 ans. Très investi dans la pratique du jazz, il joue dans plusieurs groupes durant ses années à Nantes notamment avec le trio Tryptyk et le ODC 5tet. Il intègre en 2020 la Haute école de musique de Genève en percussions où il étudie le répertoire contemporain et orchestral, mais aussi la batterie, les tablas et la composition. En septembre 2023, il entame un master de percussion au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris
Nikolay Ivanov est né en 1995 à Pleven, Bulgarie. Il commence ses études musicales à l’âge de 10 ans à l’Ecole Nationale des Arts « Panayot Pipkov » à Pleven dans la classe de percussions de Simeon Serafimov.
Dès son plus jeune âge il donne de nombreux concerts en soliste ou au sein de l’ensemble de percussion Accent.
En novembre 2018, il a remporté le deuxième prix et le prix du public Friends of TROMP au TROMP International Percussion Competition à Eindhoven, aux Pays-Bas. En juin 2019 il faisait partie d’un projet de création au Centre Pompidou d’Art Contemporain – Paris avec un concert à l’Ircam. En août 2020, il a été invité à se produire au PAS Festival à Pékin en Chine et plus tard en octobre au IPEA International Percussion CloudArt Festival à Shanghai. En 2020, il obtient sa licence et entre en master de soliste à la Haute Ecole de Musique de Genève. En 2021, il est invité comme percussionniste supplémentaire avec l’Ensemble Intercontemporain à Paris. En octobre 2021, il a remporté le premier prix du IPEA Percussion competition à Shanghaï. Titulaire d’un Master de Pédagogie de la Haute École de Musique de Genève, il enseigne à l’École Municipale de Musique et de Danse de St-Julien depuis plusieurs années.
Née en Suisse en 1999, la harpiste Tjasha Gafner a étudié à la Juilliard School de New York avec Nancy Allen après avoir obtenu son master en tant que soliste avec Letizia Belmondo à la Haute École de Musique de Genève. En 2024, elle a complété son master en pédagogie à la Haute École de Musique de Genève avec Sandrine Chatron.
Elle est lauréate de nombreux concours nationaux et internationaux, dont des premières places au Concours International de Harpe Felix Godefroid (Belgique, 2012), Suoni d’Arpa (Italie, 2014) et le Concours International de Harpe Martine Géliot (France, 2016). En 2021, elle a remporté le Prix Max D. Jost, ainsi que la Bourse culturelle Leenaards. En l’espace de dix ans, elle a reçu plus de 20 prix.
Depuis l’âge de dix ans, elle s’est produite en Allemagne, en France, à Hong Kong et dans de nombreux autres pays, et a joué en tant que soliste avec le Kammerorchester der Bayrischen Philharmonie, l’Orchestre de Chambre de Lausanne et les London Mozart Players. Elle se produit régulièrement avec divers ensembles à l’international et contribue également à l’enrichissement du répertoire de la harpe par ses propres transcriptions.
Pour ses performances exceptionnelles, elle a remporté à la fois la première place et le prix du public lors du 72e Concours International de Musique de Munich en 2023.
L’orchestre Frank Martin, est un orchestre fonctionnant au projet, sous la baguette de Thierry Fischer. Résolument fédérateur, son effectif est composé de membres des principaux orchestres de la région lémanique ainsi que d’excellent.e.s musicien.ne.s free-lance. Dans une volonté de transmission et d’intégration professionnelle, il comporte également des étudiant.e.s de la Haute école de musique de Genève.
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